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rien à dire
juste <3
Alex
Commentaire par ambre1501 — 15 mai 2014 à 10 h 50 min
Ma douce Irène ton tableau est splendide. Les Lilas fleurissent et la vie aussi cruelle soie-t-elle, continue en nous laissant un vide et une plaie qui doucement se referme mais en laissant la douleur. Peut-être la nature nous donne-t-elle de si belles merveilles afin de nous aider à atténuer la douleur de ce vide. Oui l’amour peut faire mal si l’on pleure la perte d’un être cher. Mon coeur lui se serre quand je voie la douleur torturer une amie aussi douce.
J’attends avec impatiente tes prochaines oeuvres qui sont empreintes de cette sensibilité qui me fait tant chavirer le coeur
Douces bises pleines de tendresse ma douce gazelle.
Commentaire par Kayacaramel — 15 mai 2014 à 10 h 57 min
Que dire après cet article et ce poème si émouvant…..de grosses bises et beaucoup de réconfort <3
Commentaire par Flocréa — 15 mai 2014 à 18 h 02 min
Parce que tu es tel l'arbre, majestueux souvent, mouillé et dépouillé les nuits et jours d'hiver et de tristesse
Plein de sève à nouveau, plein de vie, d'amour pour recueillir toutes les créations de Dieu, des dieux
Parce que il aimerait se poser tel l'oiseau fragile sur tes branches enfin vertes et fleuries riche de son humus
tout retourne à la terre et répare ainsi.
Je t'embnrasse mon amie et le lilas, c'est aussi les éclats de rire de ma mère, les chapardages dans la campagne française, un gout de tout, de moments intenses et vifs et précieux, ils vont revenir, ils sont là
Comme le temps des lilas, à leurs rythmes, leurs grés, à la vie amie mienne.
Baisers doux ma Duva
Commentaire par mlk — 15 mai 2014 à 18 h 23 min
Ma chère sirène,
Que nous soyons là ou pas, que nos amours soient là ou parties, tant que la terre tournera, à chaque printemps, les lilas fleuriront puis les coquelicots seront écarlates comme des cœurs battants . C'est la cruelle et forte leçon de la nature, celle de la permanence dans l'impermanence.
je t'embrasse fort
Commentaire par venezia — 15 mai 2014 à 18 h 31 min
Tu n'avais pas envie de couleur
Mais , il en restait une dans ton coeur
Rouge
Comme l' Amour
qui était , qui est , et sera
pour toujours
Commentaire par patsch — 15 mai 2014 à 19 h 01 min
Irène, ton tableau est magnifique.
Telle est la vie des hommes. Quelques joies très vite effacées par d'inoubliables chagrins. Marcel Pagnol
Je t'embrasse très fort.
Commentaire par Colchique — 15 mai 2014 à 20 h 27 min
L'amour demeure et persiste … toujours …
Je t'embrasse
Commentaire par Cannella — 15 mai 2014 à 23 h 18 min
Merci Alex <3
Commentaire par Irene — 16 mai 2014 à 8 h 36 min
Merci Kaya ; c'est la vie … Nous apprenons,, nous devons apprendre, nous devons grandir, nous devons fortifier notre âme et nous approcher de l'impermanence et, surtout, la comprendre.
Mon prochain tableau est bien avancé, il me plaît beaucoup.
Bieses à toi et belle journée
Commentaire par Irene — 16 mai 2014 à 8 h 39 min
Merci Flo de ta présence fidèle. Croie bien que c'est du réconfort
Commentaire par Irene — 16 mai 2014 à 8 h 40 min
Ma poétesse, ma magicienne des mots, ma Parigote … Tout est là, encore un peu enseveli, mais comme toi, comme nous tous, je retrouverai, le "vivant". Et ce sera bien et bon. Si la souffrance de l'amour est encore de l'amour, le souvenir de l'amour également.
Douces bises
Commentaire par Irene — 16 mai 2014 à 8 h 45 min
Ma chère Princesse,
J'ai vu – et admiré – les coquelicots. Ils sont là, ils commencent à nous charmer. Si forts et si fragiles.
En parlant d'impermanence, je viens de lire un livre fort insolent, fort intéressant. Même si on n'est pas bouddhiste, le principe de l'impermanence devrait nous être familier. Je te donne le nom et les références de ce livre :
"N'est pas bouddhiste qui veut" par Dzongsar Jamyang Khyentse. Editions NiL.
Je t'embrasse.
Commentaire par Irene — 16 mai 2014 à 8 h 51 min
Patsch, merci à ce défi vert qui t'amène chez moi où je te souhaite la bienvenue.
Tu as tellement raison ! Il n'y a qu'une couleur et je voulais que cela soit du rouge. Je le voulais absolument. Avec de tableau il y en aura deux autres et la touche de couleur qui ressortira sera encore du rouge. J'espère, ensuite, parvenir à reprendre ma vie de peintre dans la normalité. Retrouver toutes les couleurs, en avoir envie.
Je te remercie de tes mots apaisants.
Commentaire par Irene — 16 mai 2014 à 8 h 56 min
Ma chère Colchique. Pour dure que soit la phrase de Marcel Pagnol, elle est quand même vraie … Je pense que c'est en raison de ces "inoubliables chagrins" que nous devons – ainsi que je le dis chaque année pour les voeux – aimer très fort ceux que nous aimons, être dans la joie de l'amour et de l'affection, de l'amitié qui nous sont donné de vivre. Faire provision de bonheur.
Je t'embrasse et te remercie.
Commentaire par Irene — 16 mai 2014 à 9 h 00 min
Merci Cannella, belle journée à toi. Bises
Commentaire par Irene — 16 mai 2014 à 9 h 00 min
C'est tellement intime l'expression de la douleur à la perte d'un être cher. L'amour pour eux ne change pas avec la perte, il a peut-être plus d'acuité avec leur absence physique.
D'où l'importance de ne jamais oublier de dire souvent à nos proches, famille, amis, et même connaissances vagues, notre affection ou notre intérêt. On l'oublie trop.
Je ne sais que te dire d'autre qu'heureusement que les lilas refleurissent.
Je t'embrasse
Commentaire par michele — 23 mai 2014 à 14 h 34 min
Je suis heureuse de l'avoir aimé très fort, de le lui avoir dit, d'avoir fait ce tableau scupture insensée pour lui. C'et un grand apaisement de savoir que tout était dit et prouvé de notre affection.
Pour le reste, effectivement, les lilas refleurissent …
Je t'embrasse ma chère Michèle.
Commentaire par Irene — 31 mai 2014 à 10 h 54 min