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tu as raison Irène moi aussi j’espère que leurs prières ne seront pas trop vite exaucer….
Comme toi je regarde peu la TV , peut être un peu plus tout de même….mais j’essaye de ne pas louper cette émission…car comme toi je sais bien qu’une préparation est nécessaire mais je suis toujours émue de l’échange d’émotion qui se passent entre les personnages, ces larmes qui jaillissent directement du coeur….sur la dernière émission j’ai regarder enssuite le petit reportage et le journaliste a été également touché en plein coeur par cet homme qui vit heureux au milieu de nulle part ……ce sont de beaux sentiments profonds…qui forcément changent les personnages…enfin c’est ce que je pense….et ce que je souhaitent également….. car quelque soit le plus petits changement …il change notre monde….à nous de le rendre meilleur
de gros bisous
Commentaire par Flocréa — 16 janvier 2011 à 16 h 51 min
Notre civilisation a certes de bons côtés, mais si vide de sens, si inhumaine!!!Ton récit, ce petit morceau de vie, me touche et me ramène à mes propres souvenirs d’enfance…Merci pour cette pause, dont je me délecte!!!
Commentaire par Nandini - Ahelya — 16 janvier 2011 à 16 h 52 min
Un récit de vie, un moment pur et vrai Merci Belle Irène
Commentaire par Mystic — 16 janvier 2011 à 17 h 13 min
Très bien raconté ce petit moment intime ! Merci de nous le faire partager, c’est touchant…
Commentaire par Sealeha — 16 janvier 2011 à 17 h 29 min
Irène, très jolie histoire et ça a l’air drôlement bon le foutou.
J’ai toujours eu envie d’aller faire un stage chez les pygmées.
Ce peuple me semble avoir un état d’esprit très sain et je pense que nous avons beaucoup à apprendre de leurs façon de vivre ancestrale.
Je trouve dommage que les peuples qui environnent les pygmées perdent leurs traditions pour se comporter de plus en plus comme les peuples soit disant civilisés.
Mon avis personnel, est qu’un peuple qui génère des SDF n’est pas un peuple civilisé mais barbare.
Le monde civilisé dans lequel nous vivons me fait de plus en plus peur pour des tas de raisons trop longues à expliquer.
Un petit exemple cependant : imaginons si demain on n’a plus d’électricité et je ne parle pas d’une simple panne électrique.
Commentaire par Colchique — 16 janvier 2011 à 18 h 38 min
Flocréa, j’ai même commandé les DVD de certaines de ces émissions. Nous avons trop peu souvent la si belle opportunité d’être émues de façon positive par ce média qui joue trop souvent son rôle de bien mauvaise façon.
Je crois comme toi que les plus sceptiques, à un moment ou un autre, ont été touchés. Et on sent la progression du processus d’implication au fur et à mesure que le temps passe.
J’ai été sous le choc quand j’ai vu, par exemple, les yourtes entassées dans Oulang Bator. C’est facile de se perdre.
Cela a été une chance pour moi de grandir dans un pays où j’étais l’étrangère car, chez les enfants, cette distinction ne se fait pas. Être conviée sous l’arbre à palabres par le chef du village est un honneur intimidant. J’aimerais que l’on continue à honorer le sage du village. J’aimerais que l’on honore nos anciens, j’aimerais, j’aimerais …
Commentaire par Irène — 16 janvier 2011 à 19 h 02 min
Nandini, oui, un tout petit morceau de vie … mais encore si vivace !
Commentaire par Irène — 16 janvier 2011 à 19 h 05 min
Mystic, mes parents étaient très inquiets et je pense que je me serais fait bien grondée s’il ne m’avait pas retrouvée en train de déguster le manioc et l’igname. C’était tout naturel pour mes hôtes !
Commentaire par Irène — 16 janvier 2011 à 19 h 07 min
Sealeha, il est des circonstances où l’on n’a pas besoin de parler la même langue pour se comprendre …
Commentaire par Irène — 16 janvier 2011 à 19 h 10 min
Colchique, je n’ai pas connu les pygmées, mais mon chef de tribu à moi, oui.
Et il m’a dit qu’ils ont de moins en moins d’espace et sont rattrapés par la “ville”.
Le foutou est vraiment un plat délicieux. Celui que j’aimais le plus était celui avec l’arachide. Je n’appréciais pas trop les pains de banane mais ceux d’igname et de manioc, alors oui beaucoup !
Je fais encore du poulet à la sauce arachide mais sans igname ni manioc. Je me souviens encore des rires des femmes quand j’essayais de piler comme elles.
Alors, quand je vois la situation de ma chère Côte d’Ivoire, je souffre vraiment.
Commentaire par Irène — 16 janvier 2011 à 19 h 18 min
Merci de partager ces souvenirs avec nous.
Je sais qu’il est de bon ton de cracher sur la civilisation occidentale et de lui trouver tous les défauts du monde.Personnellement je n’en connais pas d’autres et j’ose avouer que ça ne manque pas du tout. Il faut certes préserver les cultures des autres peuples. Il est des civilisations plus sages que la nôtre sans doute. Mais je n’en connais pas d’autre, malgré ses imperfections et ses injustices, notre société offre une place de choix aux femmes, une place qu’elles n’avaient plus eu depuis longtemps dans l’histoire, nous jouissons d’une grande liberté. Je ne vais parler que de la Suisse puisque je n’ai jamais vécu ailleurs, mais malgré ses imperfections notre société permet la dignité de chacun, mêmes les plus pauvres ont un toit et un minimum vital, des soins garantis. Un système de santé perfectionné prend soin des plus faibles (personnes âgées ou handicapées), et j’ai vu de l’intérieur son évolution vers plus d’humanité depuis 20 ans..
Je sais que plusieurs des fidèles lectrices de ton magnifique blog ont voyagé et connu d’autres cieux, et ont de ce fait d’autres repères que les miens. Personnellement je n’ai jamais eu envie de vivre ailleurs ou à une autre époque. Cette société nous offre surtout la liberté de pensée, rien ne m’empêche d’être musulmane, ou bouddhiste ou wican ou rien du tout si tel est mon bon plaisir, mais je ne suis pas sûre que j’aurais la liberté d’être protestante dans un pays musulman par exemple.
Certes, je ne dis pas que notre société est parfaite, le progrès c’est à la fois les antibiotiques et la bombe atomique, mais comme l’a dit de la démocratie un auteur célèbre dont j’ai oublié le nom, ce n’est peut être pas un bon système, mais c’est quand même le moins pire que je connaisse.
J’espère surtout que mon point de vue ne froissera personne, ce n’est pas mon intention et je respecte tout à fait d’autres avis que le mien.
Je t’embrasse.
Commentaire par Pat — 16 janvier 2011 à 19 h 18 min
Heureusement, Pat, que tu as le droit d’exprimer ta pensée …
Tu parles de la Suisse où, tout comme toi, je vis. Mais où moi, je vois bien des personnes âgées certainement prises en charges mais seules, très seules. Sans visite, sans famille qui vienne leur prendre la main.
Je vois des jeunes livrés à eux-mêmes par des parents égoïstes ou pas assez concernés pour avoir le courage de leur donner le sens des valeurs qui les soutiendraient plus tard.
Le paradis n’est pas sur cette terre, cela se saurait autrement. Mais ici, ou ailleurs, le sens de la communauté se dégrade et l’égoïsme devient évident.
Je suis certaine que les participants de l’émission dont je parle n’auraient eu aucune envie de changer leur vie pour celle des personnes dont ils ont brièvement partagé le quotidien. Ce qui est émouvant c’est, justement, le choc de ces vies tellement différentes et la prise de conscience de ces ailleurs menacés dans ce qui est leur civilisation et à laquelle ils tiennent. Et c’est ce cela dont je parlais.
Je t’embrasse.
Commentaire par Irène — 16 janvier 2011 à 19 h 44 min
J’avais bien compris ce que tu voulais dire.
C’est vrai que le sens de la communauté se perd, mais c’est le revers de la médaille de notre liberté. On n’en a pas autant dans un système où la communauté prime sur l’individu. Je pense que la solitude ne concerne pas que les personnes âgées. Et souvent on récolte à la fin de sa vie ce qu’on a semé auparavant. Beaucoup de personnes âgées qui sont seules aujourd’hui ont vécu sans cultiver de liens familiaux . Certains des choix qu’ont fait à 25 ans auront des répercussions sur notre vie à 80 ans, mais on ne peut pas tout avoir et souvent on ne veut pas voir cette réalité en face dans notre vie.
Commentaire par Pat — 16 janvier 2011 à 20 h 13 min
Je ne peux être émue que par ton témoignage ! Pour avoir beaucoup voyagé, je sais que tout passe par le coeur, le regard, les gestes mais aussi le respect des coutumes et des traditions différentes des nôtres.
Il faut rester humble et le coeur ouvert pour aller vers les autres pas si différents de nous au fond ! Et alors, soudain, quelque chose se passe… les yeux pétillent, le sourire devient chaleureux et indique que la personne face à nous a compris notre message … Et c’est ce moment là que je trouve le plus magique dans ces genres de rencontres. Un être humain face à un autre être humain et tout ce qui les sépare est alors aboli …Il n’y a plus que le coeur qui parle … Et ce que j’aimais le foutou banane Et le poulet braisé, attiéké, sauce piquante !!! Et, et, et … ma chère Afrique me manque ! Nostalgie quand tu nous tiens !…
Commentaire par cannella — 17 janvier 2011 à 0 h 20 min
Oui, Cannella, c’est exactement cela et c’est ce que j’aime dans cette émission. Ces rencontres entres des personnes qui n’auraient jamais dû ou pu se rencontrer, ce choc de civilisations et, à un moment, cela passe. Sans mot.
Gardons nos souvenirs, mais sans nostalgie. Soyons heureuses de ce que nous avons pu connaître et vivons le jour présent car c’est de celui là que nous devons nous occuper, pour nous et ceux qui nous entourent.
Je vais t’écrire. Je le reconnais, j’ai du retard pour tout !
Commentaire par Irène — 17 janvier 2011 à 12 h 29 min
un récit trés émouvant d’un moment intime sur la relation que l’on peut avoir avec des inconnus.
On peut voir la différence dans ton récit entre chez nous pays soit disant développé, qui ne peut ouvrir la porte à un inconnu sans suspicion et certains peuples qui t’ouvrent la porte en grand, simplement sans chichis, en t’offrant ce qu’ils ont, souvent pas grand chose mais c’est fait avec cœur et joie.
Partager ces moments là sont de grandes richesses qui remplissent le coeur d’allégresse.
Irène merci pour ce bout de toi
Commentaire par wistiti — 17 janvier 2011 à 18 h 13 min
Je me suis assise avec la petite fille, j’aime les rires et le repas partagés
Nous savons tous le faire, nous sommes de la civilisation des humanités
Bon, moi, ici ou ailleurs, mon coeur et mes pas me portent toujours là ou il fait bon partager
salut, l’africaine, et même je te serres dans mes bras de future mama benz
Commentaire par mlk — 18 janvier 2011 à 12 h 27 min
Irène ton histoire est très belle et émouvante, et les souvenirs d’enfance sont des trésors;
Je rejoins un peu l’opinion de Pat: malgré les contraintes et la cruauté de la civilisation dans laquelle nous vivons, je pense néanmoins qu’elle est bien plus clémente pour les femmes et que nous avons beaucoup de chance d’en profiter, sans la mesurer toujours.
Je me souviens d’une virée en Afrique où les gens s’extasiaient sur la grâce des femmes qui portaient des paniers sur leur tête avec un dos si droit… une amie qui travaillait là bas fit remarquer que c’était certes gracieux… mais que les paniers étaient si lourds que les femmes en perdaient leurs cheveux.
je ne défends pas l’occidentalisation à outrance, mais de meilleures conditions de vie pour tous et surtout toutes, au risque d’y perdre un peu ‘d’exotisme”.
Commentaire par venezia — 18 janvier 2011 à 16 h 41 min
Wistiti, c’est cela.
Et il semblerait que l’évolution vers ce que nous vivons et comment nous vivons aille de pair avec une perte du contact et d’une certaine joie de vivre.
Je suis frappée de voir la quantité de pages, dans l’annuaire, consacrée aux psy en tout genre. Cela me paraît antinomique avec la liberté qui est donnée à chacun de vivre comme il l’entend.
Heureusement, nous pouvons, chacun et chacune faire en sorte d’apporter un peu de douceur et de joie autour de nous …
Commentaire par Irène — 18 janvier 2011 à 17 h 45 min
Ah, ma parigote, les mama benz, ces maîtresses femmes.
Mais elles, elles menaient leur monde à la baguette !
Commentaire par Irène — 18 janvier 2011 à 17 h 48 min
Je crois Venezia, que ce que j’ai voulu dire à été mal interprété ; J’ai vécu longtemps en Afrique, et j’allais dans les villages. La vie des femmes étaient très difficile, bien davantage que celles des hommes. Et pas plus que moi je ne désirerais la vivre, les participants de l’émission dont je parle n’échangeraient la leur contre celle de leurs hôtes de passage.
Il n’y a pas besoin de remonter très loin … Une dame me racontait comment elle vivait (elle avait dans les 80 ans) avec neuf enfants …
Non, ce qui se perd, c’est cette simplicité, cette chaleur et, également, le sens de la communauté.
Et ce qui me plaît, dans cette émission, c’est ce qui arrive à “passer” entre des êtres que tout sépare. Entendre Adriana Karambeu expliquer son métier qui est de “faire vendre des fringues” à un monsieur qui a travaillé beaucoup et péniblement et espère vendre le produit de sa maigre récolte pour acheter un pantalon carrément d’occasion à son fils était surréaliste. Et elle en avait conscience.
De meilleures conditions de vie pour tous, je suis bien d’accord avec toi et je le souhaite ; mais ce que nous y perdons n’est pas non plus négligeable. Quand je dis “nous”, je ne me sens pas concernée mais ce que je vois autour de moi me fait dire qu’il y a une dérive dans ce que nous appelons la “civilisation”.
Bon, contentons nous de cette anecdote de mon enfance, c’est déjà bien de l’avoir vécue.
Commentaire par Irène — 18 janvier 2011 à 19 h 36 min
Contrairement à vous, je trouve cette émission condescendante, humiliante, et caricaturale à l’extrême.
@ Pat, sache que les femmes africaines sont très libres et très émancipées. Comme tu l’as dit toi-même tu n’es jamais sortie de la Suisse. Et au passage le tableau idyllique que tu nous dresses n’est pas la réalité du terrain. Il faudrait aussi parler de la négrophobie qui règne chez toi… Bref balayons chacun devant notre porte. Personne n’a besoin de la pitié des autres. Le colonialisme et le paternalisme c’est fini, ces peuples n’ont certainement pas besoin de nous pour vivre leur vie.
Ce qui est drôle est que ce sentiment est pratiquement toujours à sens unique. Je vois rarement des Africains par exemple, se désoler des clochards qui crèvent dans le froid ici. Se désoler de ces pauvres que je croise chaque jour faire les poubelles des supermarchés… Non, réglons nos problèmes avant de vouloir commenter ceux des autres. Car personne n’acceptera plus jamais de recevoir des leçons de gens qui n’ont absolument aucune légitimité pour en donner.
Bien à vous
Commentaire par Naturi (swahily) — 19 janvier 2011 à 1 h 26 min
Pour terminer, le fait que les Occidentaux semblent toujours se soucier
des problèmes des autres peuples ne dénotent absolument pas un don
d’empathie exacerbé ou un acte altruiste fort. Mais il s’agit selon moi
d’un sentiment de supériorité vis à vis des autres. Comme nous c’est
nous qui détenons la vérité, on peut se permettre de se soucier (d’avoir
pitié) des autres, qui eux vivent très bien et ne demandent pas à être
sauvés.
Cette fois j’ai fini, n’y voyez aucune offense, j’ai juste donné mon avis sur un sujet qui m’a interpellé
Commentaire par Naturi (swahily) — 19 janvier 2011 à 1 h 40 min
Très belle histoire, merci pour ce partage de ton enfance.
C’est vrai que le sens du partage, de la communauté s’est perdu dans nos sociétés.
Malgré toutes les préparations cette émission reste vraiment un joli moment de partage et je pense que les participants ne reviennent pas tous “indemnes” d’une telle expérience.
Bises
Commentaire par Tite Marie — 19 janvier 2011 à 7 h 29 min
Bonjour Naturi et soit la bienvenue !
J’aime beaucoup ton blog sur lequel j’avais d’ailleurs déjà laissé un commentaire. Et plus exactement sur l’un de tes savons … Et la vidéo sur le beurre de karité est très intéressante.
Tu as par parfaitement le droit de t’exprimer. Comme tu as celui de ne pas aimer l’émission dont je parle et d’y voir ce que moi je n’y vois pas. Et de le dire.
J’espère que tu reviendras me voir pour, cette fois, un article que tu auras aimé.
Commentaire par Irène — 19 janvier 2011 à 9 h 52 min
Bonjour Tite Marie.
J’aime me retrouver dans ces endroits où je n’aurais jamais l’occasion d’aller, et voir comment vivent ces peuples.
Comme toi, je pense que l’on ne revient pas indemne de ces voyages, et dans le bon sens du terme.
Bises
Commentaire par Irène — 19 janvier 2011 à 9 h 57 min
eh bien voilà un article qui a soulevé bien des réactions !
Pour ma part, je raffole de la sauce graine et de la sauce amère. joli souvenir d’enfance, Irène, merci d’avoir partagé avec nous quelque chose de si intime.
Commentaire par Nepenthès — 19 janvier 2011 à 23 h 33 min
Bonjour Nepenthès et bienvenue !
Oui, il y a du des réactions mais c’est très bien ainsi.
Ah, la sauce graine, je l’avais un peu oubliée tellement j’aime la sauce arachide !
Commentaire par Irène — 20 janvier 2011 à 15 h 10 min
irène,
j’ai oublié de préciser que j’appréciais moi aussi beaucoup cette émission télévisée. Je me souviens d’un épisode avec Marianne James qui avait passé du temps sur un fragile village pilotis au dessus de la mer (aux Philippines?). Elle avait dévoilé une délicatesse de cœur qui m’avait émue et j’avais été épatée et même choquée de découvrir sur le site parlant de l’émission que les commentaires venaient surtout railler sa stature!
Commentaire par venezia — 20 janvier 2011 à 19 h 27 min
Bonsoir Venezia ; j’ai échangé avec Naturi et, finalement, je pense que cet article aura été bénéfique.
J’en suis heureuse.
Oui, je me souviens de l’émission dont tu parles : elle se passait en Indonésie, chez les Bajaus, un peuple de “nomades de la mer”. Voici un lien :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Bajau
Oui, cette femme avait été vraiment formidable et très émouvante.
J’ignorais les commentaires désobligeants quant à son physique : franchement, il y a beaucoup d’imbéciles !
Commentaire par Irène — 20 janvier 2011 à 20 h 04 min
Je n’étais pas au courant des commentaires désobligeants non plus. Marianne était très touchante je trouve aussi. L’émission qui m’a le plus marqué a été celle avec Gilbert Montagné car il a eu un ressenti completement différent.
Commentaire par Tite Marie — 20 janvier 2011 à 20 h 29 min
Tite Marie, le handicap de Gilbert Montagné faisait que les émotions passaient pas d’autres canaux qui nous sont moins familiers. J’ai beaucoup admiré son courage physique. On peut vraiment le remercier. Cette femme amchi était éblouissante de grâce, de vérité. C’est l’un des DVD que j’ai commandés.
Commentaire par Irène — 20 janvier 2011 à 20 h 41 min